
Œuvre de juillet
Jean Le Gac est une figure incontournable de l’art contemporain français. Dès son plus jeune âge, ses talents pour la peinture se dévoilent.
Chaque mois, le Musée de la Photographie met en lumière une œuvre issue de ses collections. Une occasion unique de découvrir une photographie sortie des réserves.
Jean Le Gac est une figure incontournable de l’art contemporain français. Dès son plus jeune âge, ses talents pour la peinture se dévoilent.
Les photographies de l’intimité du couple, et plus particulièrement celles réalisées une fois la porte de la chambre fermée, sont, sans doute par pudeur, relativement rares au sein de la photographie de famille ou, du moins, parmi les images montrées ou confiées par les donateurs.
La photographie possède cette incroyable qualité de nous faire remonter le temps, de nous plonger dans des univers aujourd’hui disparus et d’en appréhender les inaccessibles beautés. Ces quatre vues du Japon du XIXe siècle témoignent justement d’un monde en changement.
Assise, le sourire un peu crispé, tenant d’une main un magazine et de l’autre un stylo, Pam, 42 ans, prend la pose dans sa cuisine. Posant seuls ou ensemble, les protagonistes rejouent pour la photographe les gestes de leur quotidien.
Le « bonjour » du marcheur, le bruit des talons sur le sol, le cri des enfants, l’essieu grinçant d’une calèche, autant de sons qui semblent s’échapper de cette photographie représentant une place génoise, en pleine journée, lieu d’activité et de passage.
Pour qui rêvait, le temps d’un instant, d’être aux commandes d’un avion, d’un paquebot, ou d’un monocycle ; d’endosser le rôle d’un ivrogne, d’un dompteur de lion ou autres personnages farfelus titillant l’imaginaire, les studios photographiques et les fêtes foraines étaient un véritable terrain de jeu.
Dremmwel est un documentaire à la fois transversal et transmedia sur l’exploitation des ressources halieutiques en mer. En 2015, Pierre Vanneste débute ce projet dans lequel il dépasse le cadre classique du reportage.
Le point de départ de la série Paradise City fut la découverte, il y a une quinzaine d’années, par Sébastien Cuvelier d’un journal de bord de son oncle relatant son voyage vers Persépolis en 1971.
Sous nos yeux, une photographie « classique » de paysage s’expose.
Nous sommes autour de 1900, dans l’atelier du peintre, graveur et sculpteur Louis-Gustave Cambier (1874-1949), les apprentis suspendent leur geste, d’autres ne prêtent guère attention au photographe.
Chuck Samuels est passé maître dans l’art du détournement photographique. La somme de son travail vient d’être récemment publiée dans un ouvrage au titre évocateur: Devenir la photographie.
En cette période estivale, cette photographie issue d’une chronique familiale invite à profiter des belles possibilités de l’été. La jeune femme au sourire engageant est Denise, l’épouse d’Edouard Cluytens.
Nous connaissons peu de choses sur l’auteur de cette photographie. Son nom est Edgard Wuyame, pharmacien de profession et photographe amateur à Godinne (Yvoir - Namur).
Personnage discret, Georges Thiry n’a jamais voulu prendre trop de place, même en tant que photographe. Autodidacte, il appréciait laisser « flâner son œil au rythme de ses pas » – comme le souligne André Stas.
Gordon Parks nait en 1912 au Kansas et grandit dans une Amérique où les lois ségrégationnistes régulent une grande partie de la vie quotidienne. Pour un jeune Afro-Américain issu des quartiers pauvres de ...
« La maison des fous », tel est le nom donné à ce lieu par les habitants de la ville de Smila, en Ukraine. Ils y sont rares les visiteurs, très rares...
Evoquer en quelques lignes la vie de Lucien Clergue n’est pas chose aisée, tant est riche l’histoire de cet homme co-fondateur des Rencontres Internationales de la Photographie à Arles, premier photographe...
Si ce sont plutôt aux photographies des impasses et des petites rues bruxelloises que l’on songe lorsque l’on évoque Albert van Ommeslaghe, son œuvre photographique, prise dans son entièreté, est ponctuée d’images, certes plus singulières, mais qui révèlent le regard d’un homme qui savait observer et souligner la beauté de ce qui faisait son quotidien, comme en témoigne cette œuvre du mois.
Le Studio Piron est un nom bien connu des Namurois. Installé depuis plus de 100 ans dans la capitale wallonne, ce studio photographique a connu trois générations de photographes issus de la même famille.
La photographie à l’ambiance énigmatique que nous avons sous les yeux est l’œuvre du photographe américain Todd Hido. Elle est issue d’une série commencée au début des années 2000 intitulée House Hunting que nous pourrions traduire par « la chasse/ la traque de la maison ».
Durant la période d’après-guerre, à partir des années 1920, l’expression « se faire tirer le portrait » prend tout son sens dans le milieu forain.
L’heure bleue, c’est l’instant d’entre-deux, celui où le chien deviendrait, selon les histoires, un loup.
Sans en lire la légende, l’observateur attribuera, sans doute, la photographie choisie ce mois-ci comme œuvre du mois à un studio oriental.
Quand ?