Peter KNAPP. Mon temps
Le Musée de la Photographie accueille l’exposition, inédite en Belgique, conçue par la Fondation suisse pour la Photographie (Winterthur) à partir de la généreuse donation de Peter Knapp.
Expositions passées
Le Musée de la Photographie accueille l’exposition, inédite en Belgique, conçue par la Fondation suisse pour la Photographie (Winterthur) à partir de la généreuse donation de Peter Knapp.
Photographe de l’ici et de l’ailleurs, Thomas Chable a parcouru quelques pays, principalement d’Afrique, en se rendant notamment au Mali, en Ethiopie, au Burkina Faso et au Maroc mais il a également posé son regard au Mexique et en France.
Après la mort de son chat, sa photographie, accrochée par son épouse, a intrigué Elliot Ross : à quoi pensait l’animal au moment de la prise de vue ? A-t-il consciemment regardé l’objectif de l’appareil photo ?
Papagalo, What’s The Time ? explore l’architecture de l’ancien pavillon yougoslave de l’Exposition universelle de Bruxelles (1958) dans sa fonction actuelle du Collège Saint-Paul.
« Le cœur à même la peau est une proposition photographique aux sensibilités multiples. Réalisé à quatre cœurs, ce récit aborde la santé mentale sous le prisme intime de Lola et Lou. »
Après une première présentation au Musée Nicéphore Niépce, l’exposition Erased prend possession des cimaises au Musée de la Photographie ...
Cette exposition montre un travail en immersion aux cotés de civils comme de soldats qui partagent la même envie : la libération de leur pays et la fin de cette guerre meurtrière. »
S’intéressant beaucoup à l’économie et à la finance et à leur impact sur nos vies, Camille Peyre voit l’uniforme de travail comme un objet symbolique marquant les différences de classe et de pouvoir.
Court-métrage documentaire · 17 min · 2022 (Belgique)
Any Way suit trois personnes entrain de courir sur une piste d’athlétisme.
Menées à Charleroi entre 2009 et 2015, à l’initiative du Musée de la Photographie, les cinq missions photographiques n’ont jamais pu occuper les cimaises du musée et dialoguer, croiser les regards.
Les inondations qui ont frappé le sud de la Belgique durant l’été 2021 ont provoqué des dégâts humains et matériels sans précédent.
Alors que l’informatique et la haute technologie sont désormais les composantes de toute nouvelle automobile, l’existence même des garages à l’ancienne est mise à mal.
Six mille est le code postal de Charleroi. Ancienne ville industrielle de Belgique, appelée « La ville noire ». Couverte de poussière de charbon, Charleroi est particulière, étrange, malaisante.
Outre sa qualité intrinsèque, la série Canvas est une exploration de toutes les techniques utilisables pour un tel travail : photographie, impression sur toile, impression 3D, superpositions, collages, sérigraphie sur papier, détournement de disques vinyles, superpositions de papiers calques, couture, peinture, vidéo…
BAB SEBTA est une suite de reconstitutions de situations observées à la frontière de Sebta, enclave espagnole sur le sol marocain. Ce lieu est le théâtre d’un trafic de biens manufacturés et vendus au rabais.
C’est sans apriori, sans militantisme ni dénonciation que durant divers séjours à Pyongyang et dans la campagne coréenne, le photographe français a posé un regard neuf sur un pays en devenir, parvenant à révéler l’individu au sein du groupe.
C’est lors d’un voyage en Croatie en 1996, peu après la guerre d’Indépendance, que Brian McCarty, photographe américain vivant en Californie, a conçu le projet de représenter les conflits planétaires par le prisme de l’expérience vécue par les enfants.
Depuis 1990, Vasco Ascolini fait don de photographies au Musée. En plus de trente années, ce sont plus de 80 photographies qui ont rejoint la collection du Musée.
Une calèche traverse une forêt, une chorale chante « Mother of God », un poulet dort dans un parc urbain. Des gens traversent la rue, un visage dans le métro.
Pour cette nouvelle édition de la Galerie du Soir, notre choix s ́est porté Dimitri Michaux et son travail Syllogomanie.Dimitri Michaux aborde un thème plutôt inattendu : la pathologie de sa mère.
La découverte des photographies de René Magritte dans les années 1970, dix ans après la mort du peintre, a jeté un nouvel éclairage sur son processus de création et les liens étroits qu’il entretient avec « l’image mécanique », qu’elle soit photographique ou cinématographique.
L’exposition Lisette Model présente un ensemble de 150 œuvres évoquant chacune de ses séries emblématiques ...
Dans Paradise City, Sébastien Cuvelier s’attache au pays mythique qu’est l’Iran.
Que ce soit par l’écriture, la poésie ou ici la photographie, c’est le travail d’ethnologue qui anime Ivan Alechine.
« En attendant Saïgon » est un travail photographique portant sur la mémoire collective, la transmission et la perte de l’héritage culturel au sein des familles d’immigrés.
Area 51, Nevada, USA est un film qui explore les alentours de la zone 51 (Area 51) aux États-Unis, dans le désert du Nevada.
L’exposition « BEYOND FENCES – AU-DELÀ DES BARRIÈRES » présentée à la fin du Parcours Découverte du Musée est l’aboutissement d’un partenariat entre le Service Laïque d’Aide aux Justiciables et aux Victimes (SLAJ-V) et l’Ecole de Photographie et de Techniques Visuelles de la Ville de Bruxelles Agnès Varda.
Réalisée avec la complicité de La Conserverie et de la collection de Michel F. David (Les Éditions Sur la Banquise), l’exposition En dilettante.
Entre 2011 et 2021, la photographe belge Karin Borghouts a répertorié en images les impasses de Paris, notamment grâce à une résidence d’artiste que lui a octroyée la Communauté flamande en 2015.
Durant la période de confinement, je me suis demandé comment persister à être curieux, à voyager, regarder et aller vers l’autre, continuer à prôner l’ouverture plutôt que le repli sur soi.
« J’ai eu envie de retrouver ma région, les paysages que je voyais défiler, plus jeune, dans le train, le bus ou la voiture. Aujourd’hui, j’y retourne en prenant le temps, je redécouvre les lieux...
Dans Island Flyer: A Postcard from the Isle of Wight (2022), l’artiste nous emmène sur une île de la Manche, au sud de l’Angleterre, à la recherche d’étés révolus.
Pas d’événements grandioses dans les photographies de Michel Vanden Eeckhoudt, pas de messages politiques ou moralisateurs.
Un reportage photographique à la rencontre des éleveurs de taureaux en Camargue.
Vestiges aux allures totémiques d’une nature en destruction, les ‘Arbres-Troncs’ sont au centre de cette série visuelle mêlant collage et photographie.
Dans le cadre du projet « Trains & Tracks », Europalia a invité Melanie De Biasio à créer une pièce musicale évoquant l’immigration italienne au siècle passé. Empruntant le rail, la chanteuse a souhaité remonter à la source de ce que laissaient derrière eux les Italiens.
Pour cette nouvelle édition de la Galerie du Soir, notre choix s ́est porté sur Danielle Rombaut.
Le regard d’André Kertész a ouvert des chemins nouveaux dans la photographie du XXe siècle.
Gauthier d’Ydewalle retranscrit, interprète et synthétise par l’image des livres qui l’ont touché en les immergeant dans une composition où les couleurs, les formes, les teintes, la composition ont pour vocation d’exprimer la nature profonde de l’œuvre littéraire, philosophique ou poétique qu’ils contiennent.
Un projet mené par le Musée de la Photographie conjointement avec Les Amis des Aveugles de Ghlin.
Lux in tenebris est une combinaison de photographies et de vidéos qui emmènent le spectateur dans un voyage en mer inédit et intime.
« Je vis dans la région d’Ath et comme tout Belge du Borinage, j’ai toujours eu des terrils dans mon champ de vision. Un jour, en passant en voiture, j’ai réalisé qu’on les voyait toujours de loin et j’ai eu envie d’aller voir ce qui s’y passait. »
L’exposition NOOR/PULSE présentée au Musée de la Photographie à Charleroi est une idée originale développée par NOOR et le Musée.
Belle participation pour cette 18e édition du Prix national Photographie Ouverte ! Pas moins de 403 envois se sont disputé les faveurs du jury.
I am not seen aborde la question de la déshumanisation et de la dématérialisation du monde à travers un montage de vidéos de surveillance, enregistrées à différents endroits et capturées en ligne.
Dans le cadre de leur partenariat, Le Soir et le Musée de la Photographie ont lancé la Galerie du Soir. Parallèlement aux nouvelles expositions du Musée, la Galerie du Soir présente régulièrement un jeune artiste à découvrir. Une exception toutefois :
Célèbre pour ses photographies provocantes et controversées mettant en exergue le morbide, l’érotique et le religieux, Joel-Peter Witkin, titulaire d’un master en histoire de l’art de l’Université d’Albuquerque où il étudiera également la photographie, témoigne dans son travail d’une connaissance approfondie de la peinture et de la sculpture classiques autant que de la photographie et de la mythologie.
Hormis les tenues oranges des prisonniers, peu d’images circulent sur ce qui se cache réellement derrière les murs de Guantanamo, la base militaire américaine située à la pointe Est de Cuba tristement célèbre pour être un lieu de tortures et d’incarcérations.
Peter H. Waterschoot nous convie à un voyage immobile, dans ce qui pourrait être le récit recomposé d’une étrange nuit se déroulant en des espaces clos, aux lumières tamisées autant que dans la ville qui les héberge.
« Claire découvre qu’elle apparaît dans un film de mauvaise qualité trouvé sur internet. Elle se voit à la fenêtre de sa maison, accompagnée d’un homme qu’elle ne connaît pas. Ils ont l’air amoureux. Elle décide de partir à la recherche de cet inconnu, vers Traunstein. »
Pour cette nouvelle édition de la Galerie du Soir, notre choix s’est porté sur Bruno Oliveira.
L’exposition L’instant qui fuit retrace le parcours d’Yves Auquier. Photographe de l’intime, il s’intéresse au vivant, au temps qui passe, au familier et à l’instant fugitif, résumant lui-même sa transversalité par la notion de « réalisme intimiste ».
Tout a commencé par une photographie d’une nature morte prise chez sa grand-mère...
Deception Island est une œuvre multidisciplinaire - entre performance, film et installation – qui explore la face invisible d’un mythe de l’exploration belge...
Si à la lecture de ce titre, l’on se sent quelque peu perdu, le voir accolé à ces photographies déconcerte plus encore. Quel est le lien entre des images de villes anglaises et de leurs habitants...
« Très jeune, j’étais plutôt lancée dans la pratique de l’écriture » raconte Sarah Joveneau, auteur de la série Piel de Lucha. « Gamine, j’écrivais beaucoup...
Changer d’apparence, d’époque, de genre, se regarder dans le miroir, avant de se produire devant les copains, le cercle de famille, en reproduisant les tics de chacun, les vedettes de l’écran.
À la fin de l’année 2015, la photographe Diana Matar entreprend de rechercher aux USA les endroits où la police a tué des civils. Elle réalise des cartes détaillées dans son studio et compile des informations sur chaque cas mortel de violence policière survenu les deux années précédentes.
Jon Lowenstein se spécialise dans les explorations documentaires qui confrontent les domaines du pou- voir, de la pauvreté, de la discrimination raciale et de la violence.
Pour cette nouvelle édition de la Galerie du Soir, notre choix s ́est porté sur Mathieu Van Assche.
« A la base , explique Mathieu Van Assche, « je viens du monde de l’illustration ». Né en 1980, ce graphiste de profession arrive à la photographie par le biais de la gravure.